9 février 2021 - 15h10 - Société - Par: S.A
Kamel Bouzid, chef du service d’oncologie au Centre Pierre et Marie Curie (CPMC) du CHU Mustapha regrette que l’Algérie n’ait pas suivi l’exemple du Maroc en lançant plus tôt ses commandes de vaccins. Le pays en manque cruellement alors que la campagne de vaccination a déjà démarré.
Le spécialiste reproche aux hauts responsables algériens de n’avoir pas commandé très tôt les vaccins anti-Covid. « Il fallait copier le Maroc qui a pris ses dispositions il y a neuf mois en lançant ses commandes en juillet 2020. Il y a juste une semaine, ce pays a reçu 2,5 millions de doses du vaccin AstraZeneca. En Algérie, on débarque fin décembre en disant on vaccinera en janvier ! Il y a une grosse pression sur les approvisionnements en vaccin et l’Algérie aurait dû s’y prendre déjà au mois de mars dernier », a-t-il déclaré dans une interview accordée au journal TSA.
« On a perdu du temps et l’OMS n’a pas été réactive et maintenant on risque de le payer très cher », a déploré Kamel Bouzid.
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