83 millions de riyals, soit 200 millions de dirhams. C’est la somme que le club de Riyad réclame à son ancien attaquant Abderrazak Hamdallah et lui accorde quatre jours pour s’en acquitter. Si le joueur ne parvient pas à payer ce montant, équivalent de sa clause de libération, Al Nassr va porter l’affaire devant la FIFA.
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Le mardi 23 novembre dernier, Al Nassr a décidé de façon unilatérale de rompre le contrat du joueur. Tout est allé très vite entre les deux parties après le match contre Al Raed (2-2), le samedi 20 novembre. Abderrazak Hamdallah a eu une altercation avec son entraîneur de l’époque, le Brésilien Marcelo Salazar, pour n’avoir pas été titularisé. Il aurait ensuite endommagé le tableau utilisé par le coach pour transmettre ses consignes.
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Et comme si cela ne suffisait pas, le joueur aurait été violent et injurieux en répondant à la demande d’explication qui lui a été envoyée. À en croire le média saoudien Al Riadiyah, Abderrazak Hamdallah aurait envoyé des messages au directeur exécutif du club, le menaçant de causer des problèmes au cas où l’équipe ne le laissait pas partir.
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C’est ainsi que le club a décidé de rompre le contrat du joueur et aurait tenté de le joindre à maintes reprises, sans succès. Abderrazak Hamdallah ne s’est toujours pas exprimé sur son éviction.