Abdelouahab Belfqih
Dans un communiqué, le procureur général du roi a indiqué que l’incident n’est pas lié à un acte criminel. Les résultats de l’enquête ordonnée pour élucider les circonstances du décès de l’homme ont conclu que le défunt était entré chez-lui vers 02h30 le 21 septembre et qu’il est resté cloîtré dans sa chambre sans la quitter. C’est seulement après avoir entendu un coup de feu que des membres de sa famille sont entrés dans sa chambre et ont découvert l’horreur. Allongé sur le dos, il y avait près de lui un fusil de chasse, et du sang coulait de son ventre.
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Interrogés, ses proches ont confié qu’il était encore en vie lorsqu’ils ont fait irruption dans sa chambre. Il avait demandé à ne pas être conduit à l’hôpital. Quant aux employés, ils ont assuré n’avoir rien remarqué d’étrange la veille et le jour du drame, et qu’aucune personne étrangère n’est entrée dans la maison. Le rapport de l’autopsie pratiquée par le médecin légiste a démontré que le décès était dû à un coup de feu.
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L’expertise balistique réalisée a, quant à elle, démontré que le coup de feu ayant blessé le défunt provenait de son fusil de chasse. Après l’examen des résultats de l’enquête et des expertises menées, il a été décidé de classer l’affaire du fait que le décès n’est pas lié à un acte criminel, conclut le communiqué.