Les 13 complexes hôteliers emploient entre 9 000 et 10 000 migrants originaires du Maroc, du Ghana, du Kenya, de l’Ouganda, du Bangladesh, de l’Inde, de l’Indonésie, du Népal, des Philippines et de la Thaïlande, selon l’étude réalisée par Equidem.
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Les cas d’exploitation par le travail et de violations des droits de l’homme révélées par l’étude menée sur la période de février à juillet 2022, concernent notamment le harcèlement sexuel, la discrimination fondée sur la nationalité et le sexe, le non-paiement de salaire, les licenciements abusifs, etc.