
Maroc : voici ce qui bloque la nomination des secrétaires d’État
Aucun secrétaire d’État n’a été encore nommé, trois mois après l’installation du gouvernement Akhannouch. L’achoppement serait au niveau du ministère des Affaires étrangères.
La coalition annoncée entre le RNI, le PAM et l’Istiqlal pour la formation du gouvernement se précise. Le premier ministre a promis une équipe de compétence pour conduire le changement voulu par la majorité des Marocains.
Intervenant sur les démarches entreprises depuis sa désignation pour la formation du nouveau gouvernement, Aziz Akhannouch a indiqué qu’« une coalition tripartite, plus ou moins homogène, et qui a le mérite de « respecter la volonté populaire » se met en place.
En attendant, le chef de la primature a rassuré les Marocains qu’il sera entouré de compétences qui vont poursuivre la dynamique et le progrès que connait le royaume.
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Par ailleurs, Akhannouch a salué la matérialisation de cette union des trois partis RNI, PAM et Istiqlal au plan régional. « Le stratagème d’une alliance à l’échelle régionale est une bonne trouvaille pour baliser le terrain à un futur cabinet de coalition », a-t-il indiqué.
Sur le terrain, les consignes ont été scrupuleusement respectées par les élus des trois partis. Grâce à cette alliance « transversale et globale », le trio politique a pu rafler la mise dans les conseils régionaux, locaux ainsi que les mairies.
Aller plus loin
Aucun secrétaire d’État n’a été encore nommé, trois mois après l’installation du gouvernement Akhannouch. L’achoppement serait au niveau du ministère des Affaires étrangères.
Les tractations pour la formation du nouveau gouvernement se poursuivent. Après avoir rencontré la quasi-totalité des chefs des partis politiques, le Chef du gouvernement...
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