Maroc : Une adolescente drague un vlogueur coréen, la vidéo fait scandale

Un vlogueur coréen a commenté un moment étrange survenu lors de sa visite dans la ville de Casablanca. Les images montrent une jeune fille voilée âgée de seize ans à peine s’approcher de lui. L’adolescente marocaine a commencé à draguer le ressortissant coréen. Elle lui a demandé son nom et sa nationalité. Dans un anglais approximatif, la jeune fille lui dit : « Tu es beau, et les gens ici sont mauvais ! ».

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Elle suit le vlogueur pas à pas, peut-être dans l’espoir d’obtenir une opportunité pour quitter le Maroc. Elle lui demande son numéro de téléphone, mais il se heurte au refus du Coréen. Celui-ci lui propose plutôt de le suivre sur son compte Instagram. La jeune fille va encore plus loin. « Tu n’es pas très âgé par rapport à moi, prends le risque de m’épouser », lui propose l’adolescente marocaine.

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Cette scène a choqué le vlogueur coréen. « J’ai été choqué par ce comportement… Ce n’est pas de l’admiration, mais un dysfonctionnement dans l’éducation. Comment une fille de cet âge peut-elle prononcer de tels propos et agir ainsi ? », questionne-t-il. La vidéo qu’il a publiée a suscité des réactions de la part de bon nombre d’internautes marocains. Alors que certains y voient une simple lubie adolescente ne méritant pas une telle amplification, d’autres tirent la sonnette d’alarme sur les valeurs qui semblent se diluer au sein de la jeune génération.

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Certains tiennent la famille de l’adolescente pour responsable. Selon eux, l’absence de directives parentales strictes ouvre la voie à ce genre de comportement imprudent. D’autres imputent la responsabilité aux médias et aux réseaux sociaux. Ils les accusent de faire la promotion de modèles superficiels et de diffuser de conceptions erronées sur les relations et les expressions d’admiration.

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« Cette scène, bien qu’étrange, ne devrait pas être considérée comme un cas isolé, mais plutôt comme un indicateur des transformations sociales accélérées susceptibles d’ébranler des repères moraux solides si elles ne sont pas traitées avec conscience et par une action collective », commentent des observateurs.