
Littérature : Ungal amazigh
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La longue période de confinement a fait naître chez Abir Zaïm la passion de l’écriture. Un don caché qui s’est réveillé au cours de cette dure épreuve. À 12 ans, elle plonge dans les réalités que les enfants ont vécues avec la propagation du Covid-19 dans son premier livre.
En publiant son premier livre à 12 ans seulement, Abir est devenue la plus jeune écrivaine du monde arabe. Elle s’est inspirée de tout ce qui se passe autour d’elle, des réalités qui l’entourent. Dans cet ouvrage, c’est le Covid, tel que vécu par les enfants qui l’a inspiré. « Ils avaient saisi le chamboulement du monde à l’ère de l’épidémie et leur vie n’a pas été épargnée », raconte Abir à SNRT News.
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« L’embarcation de la mort », le titre de son ouvrage, lui a déjà valu le prix national de la lecture puis tout récemment, le prix de la création littéraire en Égypte. Un pas de géant pour la jeune écrivaine dont les ambitions sont grandes. Elle entend travailler pour devenir une romancière de renommée mondiale.
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