Des experts espagnols s’accordent à dire que le retour de Donald Trump à la tête des États-Unis devrait changer la donne dans le conflit au Sahara. Le nouveau président américain, qui était le premier à reconnaitre la marocanité du Sahara en 2020, pourrait user de son influence pour obtenir une adhésion plus large de la communauté internationale au plan marocain d’autonomie.