Maroc : flambée du prix du mouton de l’Aïd, les intermédiaires pointés du doigt
À quelques jours de l’Aïd Al-Adha, les prix du mouton montent en flèche au Maroc. Les intermédiaires et autres chennaqas sont pointés du doigt.
Comme chaque année, et à l’occasion de chaque veille de la fête de l’Aïd al-Adha, les vétérinaires publics et privés se mobilisent pour mettre en place un dispositif d’encadrement sanitaire vétérinaire des points de vente autorisés, ainsi que les structures d’abattage agréées.
Conscients de leurs rôles dans la protection de la santé publique d’une part et celle du cheptel national d’autre part, ces vétérinaires travaillent activement pour maintenir le statut sanitaire des petits ruminants à un niveau très satisfaisant, indique un communiqué de l’Ordre National des Vétérinaires.
Il s’agit de l’encadrement sanitaire des élevages des animaux destinés à la consommation et l’incitation des éleveurs à adhérer massivement à l’opération d’enregistrement et d’identification des ovins et caprins destinés à l’abattage le jour de l’Aïd.
Parallèlement, tous les vétérinaires, assurant quotidiennement le contrôle sanitaire et qualitatif des abattages au niveau des différents abattoirs du Royaume, seront mobilisés pour assurer la permanence instaurée par les services vétérinaires lors des journées de l’Aïd afin de répondre aux appels des citoyens et à leurs questionnements en vue de garantir de meilleures conditions de déroulement de cette fête religieuse.
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« Des vétérinaires seront en permanence pendant les deux jours de l’Aïd. Les citoyens peuvent les appeler pour des conseils, réclamations ou interrogations et en cas de besoin, ils pourront être accompagnés par un vétérinaire sur place », explique la note de l’Ordre.
Par ailleurs, l’Ordre national des vétérinaires réitère son appel à ces derniers pour respecter les conseils sanitaires se rapportant à l’achat et au sacrifice de l’animal, à l’abattage, la découpe de la carcasse et à la conservation des viandes.
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