Le député Yassine Radi, membre du parti de l’Union constitutionnelle (UC), son ami homme d’affaires, deux jeunes femmes et un gardien comparaissent devant la Chambre criminelle du tribunal de Rabat.
Le 28 avril 2011, une bombe allait ébranler le café Argana sur la mythique place de Jamâa El Fna, à Marrakech, causant la mort de 17 personnes. Un an après, une cérémonie a été organisée à la mémoire des victimes.
C’est la première fois que les familles des victimes reviennent sur les lieux du drame, où ils ont assisté samedi à une cérémonie officielle organisée à Arsat El Bilk, un petit jardin en face de la place Jamaâ El Fna.
Les ministres de la Justice marocain Mustapha Ramid et français Michel Mercier, ainsi qu’une centaine de personnes dont des proches des victimes, ont rendu un ultime hommage aux victimes de l’attentat terroriste, dans lequel huit Français, deux Marocains, deux Canadiens, un Russe, un Néerlandais, un Portugais, un Britannique et un Suisse ont été tués.
Arrêté moins d’une semaine après l’attentat, l’auteur principal Adil El Atmani a été condamné à mort en octobre dernier par la Cour d’appel de Salé chargée des affaires de terrorisme. Son complice Hakim Dah, a lui été condamné à mort en mars dernier.
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