Alors qu’il existe une convention d’extradition entre le Maroc et la France entrée en vigueur en 2011, ni Rabat, ni Paris n’acceptent l’extradition de leurs ressortissants. L’extradition du Franco-marocain Badiss Mohamed Bajjou, arrêté à Tanger (Maroc) le 3 juin et suspecté d’être le commanditaire de « cryptorapts » vers la France s’avère donc impossible. Il est tout de même possible qu’il purge une éventuelle peine dans les prisons françaises.